Le boudin vert, le jambon Saint-Adèle et Saint-Martin et le saucisson"La Corbeille"

Publié le par Julie Pierlet

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A la boucherie-charcuterie de la Corbeille, le métier de boucher est dans la famille depuis 5 générations. Cela se transmet de père en fils. En effet le grand-père de Pascal, le boucher actuel, a commencé la boucherie en 1933. Et son arrière grand-père était déjà abatteur et vendait de la viande car il n’y avait pas de boucherie à proprement dit. 

Ici, ils vendent plusieurs produits du terroir : tout d’abord le boudin vert.


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Un peu plus spécial : le jambon Saint-Adèle (celui-ci est conservé 15 mois en étant salé et séché mais sans conservateur ajouté vu que c’est le sel qui joue le rôle du conservateur. Le jambon est retourné tous les jours et conservé dans une pièce entre 8 et 9 degrés).


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Modeste Simon explique qu’il s’est rendu compte qu’il aurait dû appeler son jambon Saint Martin et Adèle (comme l’église d’Orp-le-Grand, très proche du magasin). Pour se rattraper, il créa un autre jambon au nom de Saint Martin (lui aussi conservé au même titre que le Saint-Adèle mais ce dernier est conservé durant 6 mois au lieu de 15. De plus en le changeant d’endroit de conservation, cela apporterait un goût différent).

 

Le Saucisson « Padzo-Lewe » qui signifie du wallon au français : « un tour en dessous de l’eau ». En effet, le nom est celui d’un petit cours d’eau près du magasin.

Mais il y a également un autre saucisson : le Ricati, qui lui, prend le nom de la source près du magasin. Ici, on est sur de rester dans un produit local !

Ici pour le saucisson, il n’y a pas de conservateur, si ce n’est de l’ail !

 

 

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